mercredi 13 mai 2009

Le rapport à la langue anglaise (Laura, Agathe, Floriane, Noémie)

Le rapport à la langue anglaise


(Laurine, Agathe, Floriane, Noémie)



Durant notre voyage, nous avons pu apprécier la langue anglaise qui est très instructive et différente de notre quotidien. Par la suite nous allons vous raconter les anecdotes les plus marquantes en lien avec l'anglais...





Dans les familles daccueil :

En famille, parler anglais restait simple, car on pouvait s’aider à tout moment entre amies, on avait du vocabulaire à disposition et la famille faisait des efforts en général pour ne pas parler trop vite et faire des gestes en même temps pour faciliter la compréhension. Ils connaissaient quelques mots français. Par exemple, le fils nous disait « bonjour », « bonsoir ».
Néanmoins, dans certaines familles, quelques-uns de nos camarades ont eu certaines difficultés… Par exemple, la famille leur a demandé s'ils avaient faim mais ils ont compris qu’on leur demandait s’ils étaient en colère car en anglais ces mots se ressemblent beaucoup : "angry" signifie en effet énervé tandis qu’ "hungry" veut dire affamé.

Lors des visites commentées :

En visite, comme les guides étaient anglais, la compréhension devenait plus difficile. Si le guide savait qu’il s’adressait à des Français alors il faisait attention à bien articuler, à prendre son temps et à faire des gestes (comme le guide d’Oxford Castle) mais quand il ne savait pas ou ne faisait pas attention, il parlait beaucoup trop vite et ne faisait aucun geste. Alors nous ne comprenions rien (ce fut le cas lors de la mini-croisière sur la Tamise).

Dans la rue :

Dans la rue, quand on interpellait quelqu’un, le premier réflexe des Anglais était de nous répondre mais tout en faisant attention à dire des mots simples à comprendre ; malgré tout, nous ne comprenions pas tout. Ils devinaient facilement que l’on était français - ou en tout cas pas anglais – car nous n'avions pas un très bon accent…
Nous avons interpellé, une fois, une dame dans la rue pour lui demander où se trouvaient les magasins ; pour nous répondre, elle a été obligée de sortir un plan pour nous expliquer sinon on n’aurait rien compris.



En général, on arrivait bien à dialoguer. Notre interlocuteur prenait soin de nous et répondait lentement, avec des gestes.


Article écrit par Noémie H.(3e1), Laurine L. (3e1), Floriane M. (3e1) et Agathe R. (3e1)

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